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Marc Leroy-Beaulieu est né le 2 mai 1908 à Paris, 94, Avenue Kléber dans le 16e arrondissement, dans l’appartement occupé par ses parents. Il arrive après une sœur, Marie, et trois frères, Paul, Michel et Jean. Un dernier garçon, Henry, né en 1910, viendra compléter la cellule familiale.

Sa mère, Jeanne Louise Marcelle Hourblin, est la fille d’un industriel rémois.

Marc s’inscrit dans un roman familial typique de l’ascension sociale de la bourgeoisie.

C’est son ancêtre Jean Leroy, marchand de toile et bourgeois de Livarot, né en 1679, qui achète la terre de Beaulieu. Ses fils s’en adjugeront le titre et se feront appeler Leroy de Beaulieu.

Un autre ancêtre, François-Pierre Leroy, né en 1759 à Livarot, et élu maire de Lisieux en 1790, se fait appeler, un temps, Leroy de Lisieux. Il est avocat au parlement de Paris et est élu député à la législative de 1792. L’époque n’est pas aux particules. Les Leroy de Beaulieu deviennent Leroy-Beaulieu.

Le fils de François-Pierre, nommé Pierre, nait en 1798. Il sera également maire de Lisieux, sous-préfet de Saumur, préfet du Lot et député du Calvados. Il épouse Laurence de Sainte-Chapelle, personnage haut en couleur, née Laurence Fromage, mais dont le père a fait changer son nom de famille. L’un de leurs fils, Paul, est le grand-père de Marc.

Paul Leroy-Beaulieu est un économiste reconnu, membre de l’Institut. Il épouse Cordélia Chevalier, la fille de Michel Chevalier, l’éditeur du journal Le Globe, conseiller d’État, professeur d’économie politique au collège de France, journaliste député puis sénateur de l’Aveyron. Michel Chevalier est Pair de France pendant le second Empire. C’est par lui que la famille Leroy-Beaulieu prendra racine près de Lodève, au château de Monplaisir, où Marc fera de nombreux séjours pendant ses vacances.

Enfin, le père de Marc, baptisé Pierre comme son grand-père, est polytechnicien, journaliste et propriétaire viticulteur sur le domaine de Monplaisir. Il est élu député de l’Hérault et conseiller général du canton de Saint-Martin de Londres. En 1914, lorsque la guerre éclate, il a 43 ans et demande néanmoins à servir en sa qualité de capitaine d’artillerie. Il tombera au champ d’honneur le 17 janvier 1915.

Marc est orphelin à l’âge de sept ans.

Marc et ses frères et sœur passent leur enfance entre Paris et Monplaisir.

A Paris, il fréquente différentes écoles privées catholiques. Il semble que l’élève est rebelle et fasse l’objet de sanctions et même d’exclusions.

En janvier 1925, à 16 ans, il est la vedette malgré lui d’un incident qui va être relaté dans plusieurs journaux, y compris le Chicago Tribune. Marc séjourne à Chamonix avec son ami Donald Harper Jr, le fils d’un célèbre avocat membre de la cour suprême des États-Unis. Les deux amis se rendent à la patinoire pour assister à un match de hockey. Il se trouve que Camille Chautemps, ministre de l’Intérieur, s’est installé dans les tribunes pour assister aux évolutions des joueurs. Marc a-t-il repéré le fameux homme politique ? Toujours est-il qu’il se permet de dire tout haut : « Chautemps, c’est un franc-maçon sectaire ». L’un des policiers assurant la sécurité du ministre tombe à bras raccourcis sur Marc. Selon certains journaux, les jeunes gens sont molestés et conduits à la gendarmerie où on leur signifie qu’ils sont persona non grata à Chamonix. Dans La Liberté du 7 janvier 1925, le jeune Harper rétablit la vérité en indiquant que lui et son ami étaient venus, leur séjour se terminant, chercher leurs patins et que leurs malles étaient déjà parties.

L’épisode révèle l’esprit frondeur et provocant de ce jeune garçon de 16 ans. Marc Leroy-Beaulieu gardera toute sa vie ce comportement anticonformiste et volontiers provocateur.

Après son bac, Marc est attiré par l’enseignement technique de l’Ecole des Hautes études commerciales. La tradition familiale lui impose de suivre les cours de l’Ecole libre des sciences politiques sur les traces de son père qui y a enseigné, de son grand-père et surtout de son grand-oncle, Anatole Leroy-Beaulieu, historien distingué, qui a dirigé l’école de 1906 à sa mort en 1912.

En août 1929, il obtient son diplôme d’ingénieur de l’Ecole des Hautes études commerciales.

A cette époque, selon Jacques Marizis, son maître de stage qui lui rendra hommage par la suite, il donne quelques articles au Journal des Débats.

Il obtient sa licence en droit le 8 juillet 1930, mais poursuit ses études dans la perspective d’être docteur en droit. Il semble qu’il n’ait pas mené à son terme ce projet, aucune thèse à son nom n’apparait.

Bien que de la classe 1928, il a obtenu un report d’incorporation pour le service militaire. Il l’effectue après l’obtention de sa licence. Il veut être officier de réserve, prépare le concours et est admis à l’Ecole de Saumur. Il devient cavalier et sort de l’Ecole avec le grade de sous-lieutenant dans un régiment de cavalerie motorisée.

Marc demande son admission au stage des avocats de la Cour d’appel de Paris le 1er décembre 1932 et prête serment le même jour. Il est d’autant plus facilement admis que le rapporteur, Léon Bérard, membre du conseil de l’Ordre, semble avoir été impressionné par le pedigree familial de Marc Leroy-Beaulieu qu’il retrace dans son rapport et qui en tient lieu. Il note cependant que la conversation de Marc « révèle un esprit cultivé et très fin ».

Aussitôt admis, Marc débute un stage de procédure chez un avoué de première instance, Maître André Rougeot, dont le cabinet est 3, rue d’Alger dans le 1er arrondissement. Questionné par le bâtonnier sur le comportement de son stagiaire, Maître Rougeot lui répond le 23 juin 1933 : « Monsieur Marc Leroy-Beaulieu vient très régulièrement travailler comme clerc à mon étude depuis le mois de janvier 1933. Il est très assidu et ne s’est absenté que pendant quelques jours pour les examens de droit. Il est intelligent, travailleur ; après avoir, pendant quelques mois, travaillé à l’étude les actes de procédure, il est maintenant en état de faire les référés, les expertises, les rendez-vous, les enquêtes et je n’ai qu’à me louer des résultats qu’il a toujours obtenus. »

Jacques Marizis, avocat, ancien secrétaire de la Conférence, qui a bien connu Marc Leroy-Beaulieu, puisque celui-ci sera son collaborateur, raconte que Marc est d’abord attiré par une charge d’avocat aux Conseils. Marc participe au concours de la Conférence du stage des avocats à la Cour de cassation et échoue. Très orgueilleux, il estime avoir été victime d’une injustice et se détourne de ce corps.

Il rejoint le cabinet de Jacques Marizis en qualité de stagiaire. Ce dernier le décrit : « C’est un garçon svelte, plein de charme et d’élégance naturelle ; des cheveux noirs, des traits fins, une voix prenante ; dans ses propos, rien de banal ou d’ennuyeux ; de prime abord apparaissait une fantaisie souvent déconcertante ».

Maurice Garçon l’évoque brièvement dans son journal : « un tout jeune, élégant, distingué, un peu précieux, plein de talent ».

Marc commence à apparaitre dans les rubriques mondaines des journaux. En particulier, il assiste souvent aux ventes aux enchères qui disperse de grandes collections, son nom est souvent cité dans la rubrique « L’Art et la Curiosité » du Figaro. La chronique mondaine de L’Excelsior le mentionne dans les évènements mondains.

Fidèle aux choix de son milieu, il est catholique pratiquant et contribue aux souscriptions de L’Action Française. Le 6 février 1934, il est parmi les manifestants antiparlementaires et d’extrême droite sur le pont de la Concorde et se frotte aux forces de police.

Il profite de ses congés pour voyager en Europe.

Le 24 septembre 1934, il conduit à vive allure sur la route de Valras-Plage, près de Béziers. Sa voiture heurte un cycliste. L’Eclair du 25 septembre 1934 relate l’accident : « Le choc fut très violent, car le bicycliste fut projeté à 17 mètres, et l’automobile à la butée contre un platane avec une telle force que le volant entra dans le moteur. Lorsque les premiers secours furent apportés, on constata que, d’un côté, la bicyclette était broyée en morceaux et le bicycliste gisait inanimé sur le sol et, d’un autre côté, l’automobiliste, blessé à la face, avait perdu connaissance. » Le bicycliste, un ouvrier agricole, meurt avant d’arriver à l’hôpital.

L’accident a des suites judiciaires. Marc est convoqué devant le tribunal correctionnel de Béziers. Le 24 mai 1935, il est condamné pour homicide involontaire. La condamnation sera amnistiée.

Il semble que Marc Leroy-Beaulieu accepte difficilement les règles. Elles ne sont pas faites pour lui. Pourtant, il est avocat …

Sous le titre « Une bande d’escrocs opère dans la région », le Journal du Loiret du 11 octobre 1936 relate l’arrestation de « délinquants » à la sécurité routière. Ceux-ci font des difficultés pour décliner leur identité. « Finalement, amenés devant le maire, ils finirent par reconnaître qu’il se nommait Marc Leroy-Beaulieu, 28 ans, habitant Paris, et Guy Viennet, 24 ans, se disant de Béziers. » Les gendarmes reconnaissent en Marc Leroy-Beaulieu la personne visée par une plainte d’un commerçant chez lequel « un individu avait acheté dans la journée d’hier un complet d’une valeur de 280 francs et était parti sans payer. Il se disait le fils d’un châtelain de la région et promettait de revenir le matin. » Le journaliste poursuit : « Il apparaît, en effet, que les personnages de cette équipe ne sont autres que les auteurs des vols au rendez-moi qui ont été commis dans la région ces derniers temps et notamment à Pithiviers le 3 octobre et aussi, à Orléans. » Mais les voyageurs n’ont pas été retenus après leur passage devant le maire, la plainte étant parvenue trop tard, et ils ont quitté la région. L’article conclut qu’ils sont l’objet de recherches actives par toutes les polices qui possèdent leur signalement.

Les faits sont-ils avérés ? L’affaire a-t-elle connu une suite ? Sans doute pas puisque Marc Leroy-Beaulieu continue d’exercer sans être inquiété.

Le 12 décembre 1936, la Recette Centrale des finances écrit au bâtonnier pour lui faire savoir que la saisie du mobilier de l’avocat Marc Leroy-Beaulieu sera exécutée le 23 décembre suivant si le versement des sommes dues au titre de ces impôts n’est pas acquitté dans les plus brefs délais. Marc habite encore 94, Avenue Kléber, au domicile de sa mère où il a installé son cabinet. Un papillon dans le dossier de l’ordre indique que le paiement a été effectué et que la saisie a été évitée.

Le 16 avril 1937, Marc Leroy-Beaulieu se présente au cabinet du bâtonnier. Ne pouvant être reçu impromptu, il lui écrit immédiatement une lettre pour lui faire part des faits qui l’inquiètent et pourraient lui valoir une poursuite disciplinaire. En effet, un gardien de la paix a dressé un procès-verbal selon lequel Marc aurait déclaré en parlant de l’agent qui réglait la circulation : « Qu’est-ce que c’est que la gourde qui est en service là-bas ? ». Ce qui lui vaut une accusation d’outrage. En outre une deuxième infraction est retenue car il a actionné son klaxon, qui n’est pas un avertisseur de ville et qu’il manœuvrait inutilement son avertisseur sonore. Marc retrace la scène survenue dans cet embouteillage et on comprend que la patience n’est pas son fort.

À sa demande d’intervention ou de conseil, le bâtonnier répond sèchement qu’il « n’est pas maître de changer la situation » que Marc a créée.

Son patron est alors Maître Texier, avocat aux Conseils. Après quelques années chez Jacques Marizis, Marc est revenu vers son ambition première d’occuper une charge d’avocat aux Conseils.

Cette même année 1937, il se représente au concours de la Conférence du stage des avocats de Paris. Il avait concouru l’année précédente sans succès.

Lors de la séance du 8 avril 1937, Marc doit répondre par l’affirmative à la question suivante : « L’imputation de faits portant atteinte à l’honneur ou à la considération des membres du clergé échappe-t-elle aux peines de la diffamation dès lors que les faits en question ne sont définis que par leur nature et indistinctement attribués aux membres du clergé tout entier sans que soient spécialement visées les personnes ou les collectivités plaignantes ? »

À chaque séance, la conférence adopte la position contraire à celle qu’il a plaidée. Cela ne l’empêche pas d’être élu 5ème secrétaire aux côtés de son ami Claude Perlès qui est élu 3ème. Guillaume Hanoteau, qui est secrétaire de Maurice Garçon et qui se fera connaître après la 2ème Guerre mondiale comme journaliste et auteur dramatique, prend la place de second.

Marc Leroy-Beaulieu se fait vite remarquer dans les débats de la Conférence par sa liberté et ses excès. Le bâtonnier Charpentier le qualifie « d’enfant terrible de la promotion ».

En mars 1938, le parquet de la cour d’appel de Paris s’adresse au bâtonnier pour l’informer que Marc Leroy-Beaulieu ne s’est pas acquitté des frais que lui réclame l’administration des finances au titre des frais de procédure de l’affaire devant le tribunal correctionnel de Béziers et que la contrainte par corps est requise. Le 11 mars 1938, le bâtonnier s’empresse de répondre que l’avocat stagiaire va s’acquitter sans délai de la somme réclamée. Le Parquet relance le bâtonnier le 25 avril 1938 et menace d’exercer une contrainte par corps si la dette n’est pas réglée dans les 15 jours.

Malgré ces incidents, et sans doute grâce au prestige de sa famille, Marc est inscrit au grand tableau le 27 mars 1939. Il est domicilié 27, Avenue Kléber.

Le temps lui est compté pour développer son cabinet, puisque la mobilisation est décrétée le 1er septembre 1939.

Marc est affecté au 3ème RAM (régiment d’Automitrailleuses). Formé en août 1939, le régiment est aussitôt envoyé dans la région de Sedan. Il subit ses premières pertes en occupant la région frontalière allemande. Pendant toute la drôle de guerre il va stationner à la frontière luxembourgeoise avec ordre d’entrer au Luxembourg en cas d’attaque allemande. C’est ce qu’il fait le 10 mai 1940. Des combats s’engagent contre les Allemands. Le 12 mai, le régiment reçoit ordre de se replier derrière la ligne Maginot.

Le 16 mai, le 3ème RAM est transféré dans la région de Montcornet, sans son escadron de chars. Il a reçu mission de s’installer en tête de pont sur la Serre à Montcornet, dans l’Aisne. La position étant tenue solidement par les Allemands avec des forces supérieures en nombre, le régiment se contente d’occuper un village situé à quelques kilomètres au sud, Dizy-le-Gros. Le 3ème escadron, auquel appartient Marc Leroy-Beaulieu, est plus spécialement chargé de l’occupation du village et en particulier de la garde de la sortie vers Noircourt et Rozoy.

Des chars allemands font irruption vers 16 heures venant du sud, « c’est-à-dire par la seule direction dont le commandant du 3ème RAM n’avait pas songé à se méfier (au moins en ce qui concerne une attaque en force) », rapporte le capitaine Weygand dans une lettre du 12 septembre 1940 adressée à Henry Leroy-Beaulieu, le frère de Marc. Un autre détachement de chars lourds aborde le village par la route gardée par l’escadron de Marc. Les chars allemands sont en nombre d’une centaine. Côté français, on défend avec 10 automitrailleuses légères et pas un seul canon antichar, pas un char.

L’automitrailleuse blindée dont disposait Marc a été écrasée par un char de 18 tonnes allemand qui a été vu arrivé à vive allure.

Les soldats se battent vaillamment, mais la cause est perdue eu égard à la supériorité en blindage de l’ennemi. Le régiment se retire, il laisse 35 morts à Dizy.

Les survivants n’ont pas eu le temps de récupérer les corps de leurs camarades. Marc est déclaré disparu. Le 5 décembre 1940, une enquête est ouverte afin de s’assurer que Marc n’a pas réapparu à son domicile à Paris. Aucun acte régulier de décès n’ayant pu être établi, un jugement déclaratif de décès sera prononcé après enquête.

Celle-ci est vite menée. Ses camarades survivants attestent l’avoir vu tomber. « Personne n’a pu aller à son secours car les blindés allemands et les motocyclistes occupèrent immédiatement la rue ».

Daniel Desmeulles, professeur au lycée d’Alençon et sous-lieutenant au troisième RAM, certifie avoir vu tomber le lieutenant Leroy-Beaulieu Marc : « Le lieutenant Leroy-Beaulieu a été abattu par une rafale de mitrailleuse de char tirée à bout portant. Il a été relevé plusieurs heures après par deux hommes que les Allemands avaient capturés et qui ont pu ensuite rejoindre nos lignes. Ces hommes n’ont pu se tromper sur l’identité du lieutenant Leroy-Beaulieu, depuis longtemps présent à leur escadron, seul tombé à l’emplacement où ils ont retrouvé le corps et dont l’uniforme portait quelques particularités très personnelles et connues ».

Le 27 septembre 1940, le maire de Dizy certifie que « Le nom du Lieutenant Marc Leroy-Beaulieu a été relevé sur une croix plantée sur une tombe située sur l’accotement de la route de Montcornet côté ouest, près l’angle formé par ladite route avec la rue du Gué ».

Ses frères feront en sorte que son courage et son sacrifice soient reconnus. Ses camarades de la Conférence, avec d’autres proches, créeront un prix qui est remis chaque année au jeune avocat élu, comme l’avait été Marc Leroy-Beaulieu, 5ème Secrétaire de la Conférence.

Michèle Brault.


 

 Citation à l’ordre de la division :

« Chef de peloton motocycliste, a montré les 10 et 11 mets les plus belles qualités de courage. Volontaire pour toutes les missions dangereuses, a effectué lui-même plusieurs reconnaissances très délicates sous un feu violent d’armes automatiques. Après 35 heures de combat, a tenu à porter personnellement un ordre de repli à un élément isolé et pris sous le feu des minen-werfer. »

Décret du 24 décembre 1941 portant nomination dans la Légion d’honneur à titre posthume :

« Excellent officier, déjà cité pour sa belle conduite au feu les 10 et 11 mai 1940 ; chargé de la défense du village de Dizy-le-Gros, le 16 mai 1940, à résister avec un magnifique courage à une attaque massive de chars. Est tombé glorieusement en se portant à découvert, armé d’un fusil-mitrailleur, vérin. Menacé par une irruption d’engins blindés ennemis. A été cité. »

 

Dossier administratif :

Notice de Jacques Marizis sur Marc Leroy-Beaulieu (ouvrage de la Conférence).

Rapport de Léon Bérard du 29 novembre 1932.

Lettre de Maître André Rougeot au bâtonnier du 23 juin 1933.

Lettre de la Recette centrale des Finances au bâtonnier du 12 décembre 1936.

Lettre de Marc Leroy-Beaulieu au bâtonnier du 16 avril 1937.

Lettres du Parquet au bâtonnier du 3 mars et du 25 avril 1938.

Lettre du bâtonnier au Parquet du 11 mars 1938.

 

Service Historique de la Défense :

Caen : AC 21 P 74352

Généanet : 

Arbre généalogique

Gallica-Retronews :

Le Chicago tribune et Daily news, 6 janvier 1925.

La Liberté, 7 janvier 1925.

La Croix de la Charente, 25 janvier 1925.

Le Gaulois, 19 juillet 1928.

Journal Officiel, 4 août 1929.

Chicago Tribune and the daily news, 21 juin 1932.

L'Action française, 22 novembre 1933.

Le Radical de Vaucluse, 25 septembre 1934.

Le Figaro, 4 décembre 1934.

Le Droit, 13 juillet 1936.

Archives départementales de l'Hérault :

L’Eclair, 25 septembre 1934.

Médiathèque d'Orléans :

Journal du Loiret, 11 octobre 1936.

Monuments aux morts :

Monument aux morts de Dizy-le-Gros : photographie dans Wikipédia.

3e régiment d'auto-mitrailleuses :

Wikipédia avec illustrations.

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