Inauguration du site Mémoire 39/45

« Mémoire 39-45 » Cinq ans après l’ouverture du site « Mémoire 14-18 », qui retraçait l’histoire de l’Ordre et des confrères durant la Première Guerre mondiale, le barreau de Paris propose une nouvelle exposition virtuelle, consacrée à la période 1939-1945, qui sera lancée le mardi 9 mai 2023 à 19h autour d’une soirée de présentation organisée à l’auditorium de la Maison du Barreau. Ce projet mémoriel, fruit d'un travail commun de plusieurs mois, a réuni une équipe de 12 bénévoles, sous la direction du Vice-Bâtonnier Basile Ader, Conservateur du musée du Barreau. Elle a notamment pour ambition de redonner un visage et une voix aux combattants, déportés et résistants du barreau de Paris, disparus durant la Seconde Guerre mondiale.

Allocution de Jean Castelain, Bâtonnier de Paris, 3 octobre 2011, au Mémorial de la Shoah

Commémoration du décret du statut des juifs du 3 octobre 1940 A l’initiative du Rassemblement des Avocats Juifs de France (RAJF) et de l’Ordre des Avocats au Barreau de Paris une importante manifestation s’est déroulée le 3 octobre 2011 à l’occasion de la commémoration du décret du statut des juifs du 3 octobre 1940. Le Bâtonnier de Paris, Jean Castelain, accompagné du Vice-Bâtonnier Jean Yves Leborgne, de la Bâtonnier désignée Christiane Feral-Schuhl et de l’ensemble du Conseil de l’Ordre ainsi que de nombreux anciens Bâtonniers et Magistrats ont participé à la visite du Mémorial de la Shoah à Paris.

Hommage du Bâtonnier Henri Ader aux avocats fusillés 20 septembre 1994

Discours prononcé par le Bâtonnier Henri Ader représentant Monsieur le Bâtonnier de l'Ordre des Avocats au Barreau de Paris Monsieur Jean René Farthouat, 20 septembre 1994.

Avocats fusillés au Mont-Valérien- Hommage du 20 septembre 2023

Le 20 septembre 2023, le Barreau de Paris et le Barreau des Hauts-de-Seine ont rendu hommage à leurs confrères avocats fusillés le 20 septembre 1941.

Le Mémorial des Martyrs de la Déportation

« Gagnez la rue du cloître Notre-Dame, longez la nef et ses rangées de rames ; après le square où les enfants jouent, à la pointe de l’île, gît un hypogée dont l’étrave immobile fend le cours de la Seine », (notice d’Albert Brunois sur la vie et les travaux de Paul Arrighi, séance de l’Académie des Sciences morales et politiques, 23 mai 1978).  

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